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Une autre publicité est possible
jeudi, 28 mai 2009
/ La rédaction de Terraeco / Installée entre Paris et Nantes, la rédaction de « Terra eco » commet des enquêtes et articles originaux et « pilote » un réseau de 100 correspondants sur les 5 continents. Aimez notre page Facebook Suivez nous sur Twitter : @terraeco Rejoignez-nous : ouvrez votre blog en un clic sur Terraeco.net Terra eco vit principalement du soutien de ses lecteurs. Abonnez-vous à partir de 3€ par mois |
Ce n’est pas parce que certaines pages ne sont pas signées par la rédaction que « Terra eco » peut s’en dédouaner. Les espaces des annonceurs participent à l’impact du journal. A nous de privilégier ceux qui s’intègrent dans notre projet.
Les contenus de Terra eco sont-ils « durables » ? Concernant les textes et illustrations (articles, enquêtes, interviews, etc.), la thématique-même de notre magazine en fait un titre à part dans l’univers médiatique francophone. Mais les contenus, ce sont aussi les pages de publicité. Pour vivre, la plupart des magazines font appel aux recettes publicitaires. Celles-ci peuvent représenter, selon les cas, 10 % à 50 % des recettes totales, tandis que les ventes en kiosques et les abonnements en assurent 50 % à 90 %. Pour Terra eco, la publicité constitue environ 15 % à 20 % du total des recettes. Alors, comment faire pour vous proposer une approche plus durable de la publicité ? C’est en faisant le tour des possibilités, et en tâtonnant, que l’équipe de Terra avance.
1. L’annonceur a-t-il entrepris en interne une démarche de DD ?
2. Ses produits ou services constituent-ils une amélioration en terme de DD ?
3. Le message qu’il fait passer est-il « sincère » ?
4. L’annonceur respecte-t-il l’indépendance de notre rédaction ?
Si ces critères sont validés par nos équipes, l’annonceur est bienvenu dans nos pages (papier et Internet). Sinon, nous nous réservons le droit de décliner poliment.
Notre méthode est imparfaite. Certains la jugent déjà – et nous l’ont dit – « impure », d’autres, « inapplicable ». Sur ce point, nous sommes particulièrement à l’écoute de nos lecteurs. Et nous reviendrons sur cette question dans quelques numéros, pour tirer un premier bilan et publier vos avis et commentaires.
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