Depuis le début de l’affaire DSK, la rédaction de Terra eco est restée muette sur le sujet. Voici pourquoi.

Vous l’avez sans doute noté dans nos colonnes ces derniers jours, pas un mot sur les rebondissements, témoignages ou analyses de l’affaire DSK. Nous avons choisi de ne pas nous accrocher à l’incroyable train médiatique qui file à toute allure sans cap ni cohérence. L’affaire DSK est avant tout une affaire privée, de mœurs et judiciaire désormais. Pour l’heure, nous avons donc choisi de ne pas nous perdre en conjectures.

Cette affaire n’est pas sans conséquence certes ni pour le parti socialiste, ni pour le Fonds monétaire international, mais elle ne doit pas nous éloigner des vrais sujets que nous traitons quotidiennement et des valeurs qui ont depuis le premier jour porté l’aventure et l’enthousiasme du média Terra eco.

Depuis le 5 janvier 2004, date de la publication en ligne et sous format papier de notre première édition, nous avons respecté à tout prix ces valeurs : l’indépendance, le respect d’autrui et l’honnêteté. Avec professionnalisme, les journalistes qui composent notre rédaction en France ou à l’étranger, permanents, réguliers ou occasionnels, exercent pour vous, qui lisez nos contenus, leur métier avec éthique, professionnalisme et humilité.

A l’heure où les pratiques de notre profession sont une nouvelle fois pointées du doigt, je tenais à rappeler combien nos choix sont dictés par ces valeurs qui nourrissent notre ligne éditoriale. Plus que jamais, grâce à vous qui nous accompagnez dans cette aventure et nous donnez les moyens de notre indépendance, nous poursuivons sur le chemin que nous nous sommes tracé : celui d’un monde que nous observons sous ses dimensions à la fois économique, humaine et environnementale.