En réponse à :
1er mai 2010 21:55, par Rcoutouly
"Certes, nous l’avions dit, les arbitrages de Nicolas Sarkozy étaient mauvais." En effet, la taxe carbone ne concerne que la lutte contre les émissions de CO2. Or la crise environnementale a de multiples autres aspects : en particulier l’épuisement des ressources. L’uranium par exemple n’est pas concerné, ni la disparition des ressources halieutiques, ni les problèmes d’accès à l’eau, ou ceux liés à l’agriculture intensive. En taxant le carbone "à la source", c’est à dire auprès des consommateurs finaux, la taxe est supportée essentiellement par des publics captifs (automobilistes, locataires de leurs (...)