En réponse à :
16 avril 2010 10:26, par Philippe Drakkar
La question qui mobilise les sinistrés (ou non d’ailleurs) succeptibles de ne plus pouvoir habiter leur maison ainsi que les pouvoirs locaux est celle de la méthode de définition de ces zones dites noire. Si le débat avait été posé sereinement, en expliquant au préalable les enjeux et les règles du jeu et si des études approfondies avaient été menées de manière contradictoire, et si une concertation approfondie s’était engagée avec tous les acteurs concernés, et si...un minimum de respect avait existé...en prenant tout le temps nécessaire d’étudier toutes les possibilités dont celle de la défense des côtes (...)