En réponse à :
16 avril 2010 12:25, par Aurélie
Qu’en est-il du kérosène non utilisé relâché dans l’air avant l’attérissage ? Les avions partent toujours avec plus de carburant qu’ils n’en n’ont besoin, afin de pouvoir aller plus loin ou de faire des ronds en attendant d’attérir si besoin est, et ce surplus est joyeusement relâché dans l’atmosphère avant l’attérissage, pour minimiser les risques d’incendie en cas de pépin à l’atttérissage. Si l’avion consomme moins, part-il avec la même quantité de carburant, ou avec une quantité réduite ? Si la quantité est la même, plus de kérosène non utilisé est donc relâché, quel est donc le bénéfice réel du "vol vert" (...)