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28 février 2010, par Audrey Garric
Armés d’un pot de colle (bio) et de végétaux prélevés dans les bois, ils taguent les murs des villes. Rencontre avec les « graffeurs verts », militants et poètes.
15 heures, un samedi. Gaby et Jérémie ont déniché le coin parfait : une jolie placette paisible de la Cour Damoye, dans le XIe arrondissement de Paris, à deux pas de la Bastille. Les deux tagueurs repèrent un mur où court une glycine, le long d’une fontaine ouvragée. Débute alors « l’action ». Les gestes sont rapides et méthodiques : saisir un (...)