En réponse à :
25 février 2010 14:13, par hallebarde
Dans « Ma vérité sur la planète », C. Allègre exposait déjà son climatoscepticisme : les fluctuations de la température du globe sont d’ordre naturel ; le GIEC (des milliers de spécialistes) nous raconte des histoires !
Cette négation de la responsabilité de l’espèce (la nôtre) s’inscrit dans la farouche volonté d’éviter de changer nos comportements. Que faire alors ? Comme, selon Allègre, on ne sait rien ou presque sur le climat (de fait, la climatologie ne relève pas de sa compétence à tel point qu’il la confond souvent avec la météorologie !), il faut non pas essayer de s’attaquer aux causes (notre style (...)