En réponse à :
11 février 2010 12:53
La consommation à outrance de bandes dessinées n’est pas écologique. Jusqu’à présent, le travail d’imprimerie était très polluant, la production du papier aussi. Son transport également. La distribution des albums aussi (mille véhicules pour mille points de vente). Les grands rassemblement humains, BD ou pas, ne sont pas écologiques. Et si les bus et autres transports en commun ont pris le relais des milliers d’automobiles c’est un peu par écologie, beaucoup par souci de gérer le centre-ville. Imaginez donc le centre-ville d’Angoulême en proie à 100.000 véhicules individuels durant trois jours. Chez moi, (...)