En réponse à :
8 janvier 2010 10:48, par JFT
Cette complémentarité étatique/privé est certainement le bon mix : utiliser le dynamisme de l’initiative individuelle comme moteur et une vision de l’intérêt commun incarnée par une programmation gérée par les pouvoir publics et les élus comme gouvernail.
Sachons prendre le meilleur des deux modèles plutôt que de les opposer stérilement.