En réponse à :
10 mars 2016 16:40
Il y a un an on pouvait lire dans les pages de Terraeco :
« C’est une triste chose, écrivait Victor Hugo il y a déjà deux siècles, de songer que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas. » Nos politiques, les médias, nos entreprises, nous-mêmes, semblons conditionnés pour avancer sans empathie ni discernement à l’égard de cette planète qui nous héberge.
Annonciateur de la fin de Terraeco ?
Terraeco va me manquer...