En réponse à :
6 janvier 2016, par Cécile Cazenave
Au réveillon du gouvernement se sont invités les rejets de l’entreprise Alteo. En cause, une dérogation pour continuer à déverser une partie de ses résidus en mer. Retour sur cinquante ans de pusillanimité politico-industrielle.
« Ils nous montrent un bocal avec de l’eau claire dedans. Qu’ils commencent par la mettre dans leur piscine plutôt que de pourrir la Méditerranée avec », fulmine Gérard Carrodano, premier prud’homme des pêcheurs professionnels de La Ciotat (Bouches-du-Rhône). Le bocal qui lui (...)