En réponse à :
13 décembre 2015 19:43, par Darna
Grand merci à Ophélie : je diffuse l’info et viens de m’inscrire pour ses prochaines newsletters et y ai laissé l’avis ci-dessous :
"Je vais essayer de te répondre, Maëva sur l’omerta sur les empreintes écologiques des élevages industriels. D’abord, n’oublions pas que nous appartenons au genre animal et sommes devenu(e)s les plus grands prédateurs de la planète. D’avoir réussi à en détenir le titre de champion, l’homme se doit d’être carnivore pour asseoir sa suprêmatie de mâle dominant. Ce qui explique le caractère sanguin de la politique de compétitivité qui régit la plupart des sociétés humaines. Malgré le (...)