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21 novembre 2015, par Cynthia Fleury
Pour introduire ce hors-série consacré au climat sous sa forme la plus intime, nous avons invité la philosophe et psychanalyste Cynthia Fleury.
C’est en lisant James Lovelock (1) que j’ai retrouvé, dans ses lignes, une vieille intuition d’enfance – lire, d’ailleurs, c’est souvent retrouver ce que l’on a pensé ; d’une certaine manière, toujours un peu de réminiscence. Donc, en lisant Lovelock et son « hypothèse Gaïa », j’ai ressenti ce lien inaugural que nous avons avec l’atmosphère. Celle-ci n’est pas (...)