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28 octobre 2015, par Alexandra Bogaert
D’un côté, le processus se réaliserait en pleine terre. De l’autre, dans un bâtiment spécial. Dans les deux cas, ces deux projets – dérangeants – visent à transformer des cadavres en engrais.
« Tu nous a plantés sans prévenir. Prends-en de la graine, vieille branche. » Voilà le genre d’épitaphe que l’on pourrait voir fleurir à l’avenir au pied de monticules de terreau. Car deux initiatives indépendantes et concomitantes visent à prouver qu’on peut composter son ticket pour l’éternité. Littéralement : on peut (...)