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28 octobre 2015, par Ludivine Loncle
Il y a un an et demi, cette famille de réfugiés s’est installée dans un petit village du Périgord qui s’est porté volontaire pour les accueillir. Peu à peu, ils s’y font des amis, apprennent le français et se sentent chez eux.
Son sourire solaire ne laisse rien deviner de sa souffrance. Celle de l’exil. Malgré les horreurs qui ravagent son pays en guerre, malgré l’angoisse permanente pour ceux restés là-bas, Maya (1), 28 ans, garde une fraîcheur toute juvénile et une bonne humeur communicative. Maya est (...)