En réponse à :
3 mars 2009 11:16, par Albert de Pétigny
Que l’affaire soit réelle ou exagérée elle illustre bien le débat sur "l’odeur ou la couleur de l’argent".
Alors que les besoins de financement pour des causes humanitaires et/ou environnementales sont de plus en plus nécessaires, la question : "peut-on accepter l’argent même lorsqu’il vient de profits réalisés sur le dos de l’environnement ou grâce à des conditions de travail inacceptables ?" est plus que jamais d’actualité.
Ma réponse serait : oui, si l’entreprise concernée donne cet argent de façon totalement désintéressée, sans aucune contre-partie et s’interdit d’en faire mention dans sa communication (...)