En réponse à :
23 octobre 2008 11:03
Le refus systématique des biotechnologies vertes (OGM) par Greenpeace a un impact certain sur les coûts en CO2 de l’agriculture. Ceci devrait être intégré aussi dans le bilan. A prendre en compte : le désherbage mécanique, l’usage de pesticides (y compris les pesticides BIO), le blocage de la recherche agronomiques (destruction des essais en champ, accumulation des procédures administratives et judiciaires) et du développement de nouvelles variétés végétales. Greenpeace doit non seulement faire une analyse à l’interne (d’ailleurs biaisée comme le signale le correspondant précédant), mais aussi une (...)