En réponse à :
5 juin 2008 12:58
Est-ce que sur cette tribune à l’éditorial écologiste, n’était-ce pas le moment de rappeler que la fleur coupée, si symbolique, si tendre et si belle, porte dans son histoire des victimes ? Je ne vous apprends pas que l’industrie de la fleur coupée est tout un monde d’horreurs, un secteur délocalisé, avec donc une main d’oeuvre sous-payée, et comme on a délocalisé les pesticides interdits en UE avec la production, cette main d’oeuvre non protégée souffre de graves problèmes sanitaires (cécité, déformation des embryons, maladie grave en tout genre).
Donc ils sont bien tous ces samaritains qui pensent à leur (...)