En réponse à :
16 juillet 2007 12:14, par Candice
C’est vrai qu’on ne peut pas dénigrer "les banquiers" en bloc. En revanche, le sien, que l’on connait bien, dont on a bien mesuré les failles et les penchants : ça, on peut. Celui qui vous propose - sans vous prendre au sérieux parce que vous ne portez pas vous aussi une cravate - un taux complétement naze pour un emprunt ou celui (le même) qui refusera de vous annuler des agios entrainés par une "erreur de la part de la banque". Cette carte n’existe pas, parce qu’on est pas au Monopoly. Dommage... Mais moi j’aime bien changer de banquier. La relation avec un banquier est - justement - tellement (...)