En réponse à :
7 juillet 2009 10:25, par Emmanuel Grenier
J’aurais aimé une analyse plus indépendante de la journaliste. Son article ne fait que contraposer les positions des ONG et du gouvernement français, en prenant clairement parti pour les premières. C’est facile, dans un monde idéal, de s’ériger en grand prêtre et juge comme le fait Greenpeace, que reprend sans la moindre distance Louise Allavoine. Dans le monde réel, il y a d’autres paramètres que le climat. Dans nos sociétés (encore un peu) démocratiques, ce n’est pas un hasard si les gouvernements reculent au moment de prendre les décisions qui font mal (faire reculer la bagnole ou faire payer les (...)