En réponse à :
30 juin 2009 09:07, par Philippe Arnoux
L’ article laisse entendre que le bio est en définitive moins cher (moins 10%, et jusqu’à moins 23%). Toutefois, il s’agit apparemment d’un prix facuré aux familles. Qu’en est-il du prix réel payé par la collectivité ?
L’article précise que, non seulement le marché porte sur des aliments issus de l’agriculture bio, mais encore de l’agriculture locale. On peut donc se poser la question de savoir si la motivation réelle n’est pas le développement de l’agriculture locale (ce qui est légitime), mais que le label "bio" rend plus facile à appliquer...
Philippe (...)