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12 octobre 2015, par Cécile Cazenave
Avant la COP21, les sceptiques reprennent du poil de la bête et les oreilles du nouveau président du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat doivent déjà siffler. Voici ce qu’il faut arrêter de croire sur l’institution.
1/ Le Giec prétend prédire l’avenir
Non, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) ne se réunit pas dans une salle obscure pour caresser une boule de cristal. Bien que, du café, il en a fallu des litres aux scientifiques qui y (...)