En réponse à :
10 juin 2015 13:52, par Alice
Je reste toujours interloquée de ce droit que l’homme s’octroie de décider de qui doit vivre ou non. La vie dans tous ses états est le droit de tous et si nous devons désigner des nuisibles il me semble que l’homme est le premier. Destructeur de son environnement, pollueur, irrespectueux de la nature (faune et flore), et de lui-même, il décide, légifère, non pas pour le bien de tous (toutes espèces confondues) mais pour le bien d’un tout petit nombre d’individus. Sans la présence humaine, les espèces s’équilibrent naturellement ; aujourd’hui, nous sommes, nous, humains, environ 7 milliards (...)