En réponse à :
22 décembre 2015 13:03, par michel.bzh
Tout à fait d’accord. L’article nous promène un peu vite depuis la souffrance animale jusqu’à notre assiette. D’abord on pourra aussi dire un jour qu’un poireau a autant de "droits" de vivre que nous, mais moi la philosophie qui commence par le "droit"... arf. La vie terrestre a toujours survécu en bouffant la cellule voisine. J’en connais peu qui digèrent des cailloux. Ensuite, l’animal et son élevage est avant tout un moyen de conserver des protéines quand elles ne poussent pas dehors (ou bien que nous, on arrive pas à les assimiler). Oui, on pourrait ne manger que du végétal, oui il existe les (...)