En réponse à :
8 avril 2015 10:05, par Anaïs
J’ai été élevée à tout garder "au cas où", "parce que ça peut servir". Ce qui a ses bons côtés : j’ai développé une aversion pour le gaspillage et des réflexes de récup. Le problème, c’est que je vis à Paris dans un petit espace ; de plus, je me suis aperçue que l’encombrement matériel et l’attachement aux objets m’empêchaient d’avancer. Cela fait plusieurs années déjà que j’essaie de concilier mon envie de me désencombrer et l’exigence de ne pas gâcher. Mes solutions : donner sur Freecycle ou à des associations, réutiliser des choses de manière créative (dans des projets artistiques avec des enfants par exemple), (...)