En réponse à :
19 mars 2015 17:05, par Jacques C
Et en attendant le grand soir, on fait quoi ?
Je ne comprends pas cette tendance cynique à opposer dénonciation et action. En quoi l’action serait-elle contradictoire avec la dénonciation et l’explication de ce qu’il faut changer ?
En revanche, je vois très bien en quoi la dénonciation sans action est stérile, et j’en ai croisé un paquet, de militants "dénonciateurs" qui se complaisent dans une posture très satisfaisante pour l’égo.
À ceux qui invoquent le grand soir, je préfère ceux qui construisent les petits matins.
L’avantage, c’est qu’après un petit matin, on est toujours dispo pour se battre le (...)