En réponse à :
18 février 2015 13:44, par Amélie Mougey
Bonjour,
Je vous remercie pour votre commentaire. Il y a en effet deux choses : les 10 % de moins que vous mentionnez ( perte de 7000 euros par rapport à un maïsiculteur irriguant ), sont liée à la conversion de l’exploitation, en 2009, et donc à la réduction des surfaces exploitées. Mais à partir de 2011, une modification de la PAC, qui déplafonne les aides à l’agriculture bio, doit combler cet écart. Sauf que Benoît Biteau butte sur un second problème : l’incompatibilité de aides à la désirrigation avec celles à l’agriculture bio ( voir réponse ci-dessus ) qui lui font perdre 45000 euros sur cinq ans. (...)