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8 janvier 2015, par Cécile Cazenave
Les SDF, les jeunes, les musiciens et les désœuvrés qui squattent les bancs publics sont le prétexte à leur déboulonnement. Sans eux, pourtant, les urbains se cloîtrent et la cité risque de mourir.
A Angoulême (Charente), on a voulu les grillager ; à Perpignan (Pyrénées-Orientales), on veut les escamoter. Régulièrement, depuis plusieurs décennies, certains élus veulent la peau du banc public. Pour le réduire en allumettes, ils l’accusent du pire des maux de la cité : la nuisance. Squatté par les SDF, les (...)