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29 décembre 2014, par Sophia Marchesin
Cette immigrée de 29 ans, qui a longtemps travaillé comme domestique dans des conditions précaires assimilées à de l’esclavage, vient d’ouvrir un restaurant clandestin à Beyrouth.
Les voisins ne sont pas encore au courant, le propriétaire de l’immeuble non plus. Mais au creux d’un escalier dans une rue sombre de Beyrouth, au Liban, l’appartement de Winta (1) se transforme tous les vendredis soir en restaurant éthiopien. A l’extérieur, pas de panneau lumineux, mais dès que l’on pousse la porte du (...)