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29 décembre 2014, par Alice Bomboy
Alors que les palmiers à huile supplantent les forêts primaires, la jeune femme se bat pour que les droits des populations natives de l’archipel soient reconnus, leurs terres protégées et leurs traditions préservées.
Mina Setra commence toujours ses réunions pour discuter de la situation de la forêt indonésienne par une salve qui désarçonne ses interlocuteurs. « Je vous rappelle que nous sommes les propriétaires historiques des territoires en question. Maintenant, parlons. » La jeune femme de 36 ans (...)