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9 décembre 2014, par Amélie Mougey
Huit ans avant le Mondial qatari, près d’un millier de travailleurs immigrés ont déjà péri sur les chantiers. En imaginant la plus haute tour du monde, deux Français dénoncent cet esclavage moderne.
De prime abord, la construction évoque les édifices en kapla de notre enfance. La vague de nostalgie se dissipe une fois sa mission lugubre dévoilée. « Il s’agit d’un tour mémorielle », explique Axel de Stampa, architecte français qui, avec son acolyte Sylvain Macaux, a co-imaginé ce bâtiment virtuel. « Chaque (...)