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6 novembre 2014 08:53, par Denis Garnier
Concernant les migrations, impossible de passer ici sous silence leurs conséquences écologiques et humaines passées. Le cas des États-Unis est à ce titre malheureusement exemplaire. En un siècle (1890 à 1990), la population de ce pays a été multipliée par quatre, et ce en majeure partie du fait des migrations (Nord-Nord et Sud-Nord). Or jusqu’à un passé récent, les USA étaient le pays le plus pollueur de la planète et c’est évidemment la multiplication des consommations individuelles par le nombre d’habitants qui en a été la cause... Maintenant, pour l’ensemble du continent américain, ne parlons même pas (...)