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7 mars 2019 07:53, par papayagloss
Au bout de ces expéditions, à l’aspect parfois rocambolesque, il y a la connaissance de parties du monde encore obscures, la compréhension d’écosystèmes méconnus, la découverte du vivant. « Avant de revenir de Santo, notre première expédition, j’ai dû faire face à une attitude goguenarde, on nous disait que notre projet faisait très XIXe siècle, que c’était de la science dépassée », se souvient Philippe Bouchet, directeur scientifique du Muséum national d’histoire naturelle et co-organisateur de Planète revisitée. Après cinq expéditions d’envergure, le regard des institutions a changé. Les entomologistes, les (...)