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28 mai 2014, par Walter Bouvais
Que nous soyons « footeux » ou non, l’éclat de rire d’un bambin qui tape dans sa toute première balle, sur un terrain vague de New Dehli, de Ouagadougou ou de Saint-Etienne, a quelque chose d’irrésistible, sans doute d’universel. Que nous lxa fréquentions assidûment ou non, la tribune, au creux de laquelle se serrent des centaines de personnes, porteuses d’autant de destins, haletant d’une seule et même respiration pour soutenir « leur » équipe dans l’adversité, a quelque chose de transcendant. Que nous (...)