En réponse à :
25 février 2010 11:37, par Alice Bretaneo
Très bonne analyse.
Sauf le "comme des lapins", hélas notre croissance est bine plus rapide que celle des lapins, car nous n’avons pas de prédateurs naturels.
Savez-vous que la population du lapin sauvage est en nette régression et en voie d’extinction dans certaines régions et disparu totalement d’autres.
C’est le gros problème de l’espèce humaine, être en haut de la pyramide écologique en tant que prédateur suprême et se reproduire comme un invertébré, c’est ce qui fait de cette espèce, sûrement la moins adaptée et adaptable. Car c’est l’espèce la moins bien finie, hélas pour nous c’est la notre, et si (...)