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27 mars 2014, par Alex Fernandez Muerza
Etouffée par le tout-voiture et un passé industriel omniprésent, la cité basque a su se réinventer en ville idéale pour les marcheurs. Récit d’une métamorphose.
« Bienvenue à Bilbao, musée des horreurs écologiques. » Carlos Cuerda, alors étudiant, se souvient de ce graffiti, à l’entrée de la ville. C’était en 1986. Des militants exprimaient alors leur colère contre la cité basque, contaminée par une industrie greffée en son cœur. Aujourd’hui, l’image cauchemardesque a laissé place à une tout autre réalité : (...)