En réponse à :
15 février 2014 13:59, par Didier Barthès
Par ce vote les Suisses ont reconnu que leur territoire était de surface finie et que selon un adage bien connu, on ne peut envisager une croissance infinie dans un monde fini. Il faut bien à un moment dire stop. En ce sens et contrairement aux accusations de repliement sur soi-même que l’on peut lire ici ou là, j’estime que ce vote à une dimension écologique fondamentale. Mieux vaut organiser l’avenir en mettant des barrières à une surpopulation croissante qu’attendre que les contraintes liées à cette surpopulation conduisent à un effondrement. Je fais pour ma part miennes les analyses de (...)