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21 janvier 2014 09:06, par Sylvie du Morbihan
Le titre de cet article m’avait mis l’eau à la bouche. Je l’ai trouvé long et peu enthousiasmant à la lecture. Celui qui aime la marche, quelque soit l’endroit, développe une stratégie pour pouvoir l’utiliser préférablement à tout autre moyen. Elle entretient une relation physique au monde. Nous arpentons.
Il est vrai que certaines villes sont plus adaptées et offrent plus de plaisirs compensatoires aux aléas d’un environnement souvent décourageant : multiplicité de véhicules motorisés bruyants et polluants en tête, suivi presqu’immédiatement par les autres marcheurs, il ne faut pas l’oublier. A Venise, la (...)