En réponse à :
5 novembre 2013 12:18, par Mathieu
Je suis adepte de la bicyclette mais en faisant 30 mn de vélo en ville à Paris, j’ai parfois l’impression d’avoir avalé un paquet de cigarettes, et je me permets de douter de ce constat. Ainsi, je me demande : Comment est-il possible d’être moins exposé à vélo qu’à pied au dioxyde d’azote, aux particules et au monoxyde de carbone ? Le fait d’être en phase d’effort impacte t-il l’absorption de pollution (peut-être que je fais trop de sprint !) Quelqu’un peut-il me répondre ? (...)