En réponse à :
18 juillet 2013 20:00, par Régis
100 % d’accord avec toi Narvic. Je rajouterai qu’être ou non végétarien est un problème de riche qui cherche à optimiser son confort moral. Quand notre niveau de vie va drastiquement baisser avec la fin du pétrole abondant et bon marché ce sont les groupes humains qui optimiseront leur ressources qui s’en sortirons le mieux. Comment valoriser des prairies inondables ou de haute montagne ? Comment valoriser la viande des animaux de traits ? Comment valoriser les déchets alimentaires ? Comment s’assurer le maximum de réserves en cas de mauvaises récoltes ? A chacune de ces questions, "être omnivore" (...)