En réponse à :
4 février 2013 14:56, par GERIDONI
« Thorium et sels fondus » Avec cette technologie défendue par Heuer, la maintenance du réacteur deviendrait à haut risque pour les intervenants, car la matière fissile (thorium et sels fondus) se baladerait à 800 °C dans l’ensemble des circuits. Or le thorium est 3,3 fois plus radiotoxique que le plutonium (on imagine aussi les risques de sa prolifération). Mais un expert du CEA nous rassure : l’uranium 233 obtenu par fertilisation du thorium 232, c’est « nettement mieux que le plutonium pour faire des bombes (...)