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26 novembre 2012, par Emmanuelle Vibert
Résoudre la question alimentaire à l’échelle planétaire, en se passant de l’agriculture conventionnelle ? Ça ressemble à une utopie, mais c’est la réalité de demain, selon certains. Parmi eux, l’agronome Jacques Caplat. Entretien.
Jacques Caplat est agronome et géographe.
L’idée que les rendements en bio sont plus faibles qu’en conventionnel est récurrente…
Si l’on considère que l’agriculture bio, c’est faire la même chose qu’en conventionnel moins la chimie, alors oui, c’est certain. Mais ça n’est pas ça (...)