En réponse à :
15 novembre 2012 07:54, par Cartus
Bonne analyse qui formalise tout haut ce qu’on pense tout en bas :-) ! Hélas l’égo de super Ayrault et son attachement viscéral à son bébé d’Ayraultport fait que le rationnel ne pèse pas lourd dans la balance. D’un autre côté, Vinci et ses sous traitants poussent pour se faire offir les mannes de ce chantier, à nos frais, même si dans 20 ans l’infrastructure risque de ne plus être utilisée. Les actionnaires auront alors eu et consommé leurs retours financiers !