En réponse à :
26 novembre 2012 14:30, par Valérie
Tout le monde est pour la seconde solution.
Mais la conclusion, c’est qu’il faut stopper Flamanville. Pas un projet léger (un aéroport, c’est une route et des hangars), qui déplace un trafic aérien existant (donc pas d’augmentation de CO2), et qui libérera en coeur de ville une zone qui pourra accueuilir des dizaines de milliers d’habitant, plutôt que de les laisser artificialiser d’immenses zones en troisième couronne s’ils devaient s’établir, eux et leurs autos, dans de vastes (...)