En réponse à :
28 décembre 2012 15:50, par Francis Schwan
A l’automne, le service public d’une grande ville ramasse des mètres cubes de feuilles mortes. Notre simple logique voudrait que cette masse végétale soit recyclée en composts. Eh ben non ! ... parce que, selon ces mêmes services, elle est très polluée par les gaz des véhicules et de chauffage. Que dire dès lors des fruits et légumes récoltés sous les pots d’échappement et les cheminées ? Là où les pesticides et engrais chimiques ne polluent pas encore la terre, c’est le benzène qui se chargera de tuer les consommateurs écolos. C’est donc une vraie fausse bonne nouvelle (...)