En réponse à :
25 mai 2012 16:24, par PP
Vous avez raison sur la difficulté à faire bouger les délégataires de service public. Tous les industriels se mettent au vert, et proposent aujourd’hui du bio, sur lequel on peut imaginer que les marges sont assez confortables ... on est dans le green washing le plus total, le produit bio-alibi ou le repas bio mensuel (comme on ferait un repas mexicain). Mais les DSP ne sont pas une fatalité, les contrats arrivent à échéance, c’est avant tout un choix politique de facilité, poussé par la frilosité, les lobbying de l’hygiène et de la sécurité alimentaire. Les prestataires ne s’y trompent pas, effrayant (...)