En réponse à :
27 septembre 2012 08:06, par azie
Comment se fait-il qu’en 2012, nous, les femmes ultra-libérées, considérions comme osé le fait de ne pas porter de soutif ? Si je me balade avec une jupette ras-le-minou, je suis à la mode, mais si je choisis de libérer mon plexus et mon dos d’un élastique tendu à mort, et mes (pauvres) seins de baleines de métal et autres bonnets compressifs, je suis une salope ?
D’où nous vient cette dévotion pour cet instrument de torture, déclinaison directe du corset ? Parce qu’en dehors du sport, ou pour celles qui on de gros seins peut-être, soyons honnêtes, à part nous scier les côtes, ça ne sert vraiment à (...)