En réponse à :
6 mai 2012 10:19, par louzou
Je tente de répondre à cette argumentation qui ne reconnaît que l’expérimentation standardisée qui ne fait pas souvent l’analyse de ses propres pré-supposés dans la formulation même de l’hypothèse. La science reconnaît que chaque personne est unique, elle reconnaît aussi qu’il y a plus de différences génétiques entre un homme et une femme (10%) qu’entre un homme et un ver de terre. Alors pourquoi ne pas prendre cette unicité en considération ? Ne pas tenir compte de la vie émotionnelle pour prévenir, ou traiter un cancer relève du non-sens. Il y a suffisamment de thérapeutes pour s’occuper individuellement des (...)