En réponse à :
10 janvier 2012 09:36, par Darna
Le plus grand obstacle à une transition existentielle, demeure principalement à cause du refus de changer de mentalités et de mode de vie, que ce soient de la part des décideurs politico-économiques, ou de celle de leurs clients/électeurs. Au lieu de réviser leurs responsabilités et leurs empreintes écologiques, ils poursuivent leurs surenchères et n’investissent qu’en pensant à l’abondance des denrées...Le pétrôle était encore 1 denrée "illimitée", il y a 1 siècle. L’on ose évoquer le coût de la main d’oeuvre, sans tenir compte de la dégradation et de l’empoisonnement des sites d’extractions diverses...L’on (...)