En réponse à :
20 décembre 2011 14:23, par jmcatsix
Oui, un baril à 200 $ et même à 500 $ règlerait pas mal de problèmes, mais comment y parvenir ?
"Après l’échec des négociations internationales à Durban, seuls les marchés peuvent pousser à l’action les décideurs" Oui et non. Les marchés sont dans une dynamique que personne ne contrôle et les décideurs ne font que subir. Faut-il attendre l’épuisement des réserves et les bienfaits d’une économie de pénurie pour devenir raisonnables ? A moins qu’une autre catastrophe plus grave ne réveille les consciences avant.
A court terme, ce sont bien les marchés qu’il faudrait changer, mais par une remise en cause des lois (...)